La Constitution de la Cinquième République française, adoptée après le coup d'Etat du 13 mai 1958, a instauré un régime de caractère présidentiel, proclamé abusivement démocratique, où le peuple subit pendant cinq ans les volontés et lubies de présidents de moins en moins dignes de la fonction et d'une oligarchie politique, largement corrompue et sans programme fiable. L'élection y a perdu son intérêt et son sens.
La Constitution n'est plus un contrat social digne d'un peuple supposé souverain, de notre temps. L'auteur l'étudie, en démontrant la contradiction existant entre ses principes et son contenu. Il met en évidence ses défauts. Il envisage les moyens d'en changer, d'abord par une réforme du référendum, la mise en place d'une Constituante et propose des méthodes de démocratisation et d'assainissement de la vie politique. Il approfondit la question de la représentabilité du peuple, celle du tirage au sort et de l'élection. Il montre, en fin d'ouvrage, la dépendance des Etats d'un système supranational financier et aborde la problématique du contrôle de l'économie.
La Constitution n'est plus un contrat social digne d'un peuple supposé souverain, de notre temps. L'auteur l'étudie, en démontrant la contradiction existant entre ses principes et son contenu. Il met en évidence ses défauts. Il envisage les moyens d'en changer, d'abord par une réforme du référendum, la mise en place d'une Constituante et propose des méthodes de démocratisation et d'assainissement de la vie politique. Il approfondit la question de la représentabilité du peuple, celle du tirage au sort et de l'élection. Il montre, en fin d'ouvrage, la dépendance des Etats d'un système supranational financier et aborde la problématique du contrôle de l'économie.