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Extrait :
Le commandant de l'avant-poste turc de El Ashraf a été réveillé avant l'aube par le timbre de chevaux et de tintement des accoutrements. Il se redressa et cria pour son ordonnance. Il n'y avait pas de réponse, alors il se leva précipitamment saccadé sur ses vêtements, et sortit de la hutte de boue qui lui servait de siège. Ce qu'il a vu l'a rendu momentanément sans voix.
Sa commande a été monté, en pleine formation de marche, établi près de la voie ferrée qu'il était de leur devoir de garde. La plaine de la gauche de la piste, où les tentes des soldats avaient résisté était maintenant nue. Les tentes avaient été chargés sur les chameaux de bagages qui se trouvaient entièrement emballé et prêt à sortir. Le commandant regarda sauvagement, doutant de ses propres sens, jusqu'à ce que ses yeux se posèrent sur un drapeau porté par un soldat. Le fanion agitant n'affichait pas le croissant familier.Le commandant pâlit.
"Qu'est-ce que cela signifie?" il a crié, avançant à grandes enjambées. Son lieutenant, Osman, lui jeta un regard impénétrable. Osman était un homme grand, fort et souple que l'acier, avec un visage sombre vif.
"Mutiny, effendi,» répondit-il calmement. "Nous sommes malades de cette guerre nous nous battons pour les Allemands. Nous sommes malades de Djemal Pacha et les autres fous du Conseil de l'unité et du progrès, et, accessoirement, de vous. Donc, nous allons dans les collines pour construire une tribu de notre propre ".
«Folie!" balbutia l'officier, tirant sur son revolver. Même comme il l'a dessiné, Osman lui a tiré dans la tête.
Extrait :
Le commandant de l'avant-poste turc de El Ashraf a été réveillé avant l'aube par le timbre de chevaux et de tintement des accoutrements. Il se redressa et cria pour son ordonnance. Il n'y avait pas de réponse, alors il se leva précipitamment saccadé sur ses vêtements, et sortit de la hutte de boue qui lui servait de siège. Ce qu'il a vu l'a rendu momentanément sans voix.
Sa commande a été monté, en pleine formation de marche, établi près de la voie ferrée qu'il était de leur devoir de garde. La plaine de la gauche de la piste, où les tentes des soldats avaient résisté était maintenant nue. Les tentes avaient été chargés sur les chameaux de bagages qui se trouvaient entièrement emballé et prêt à sortir. Le commandant regarda sauvagement, doutant de ses propres sens, jusqu'à ce que ses yeux se posèrent sur un drapeau porté par un soldat. Le fanion agitant n'affichait pas le croissant familier.Le commandant pâlit.
"Qu'est-ce que cela signifie?" il a crié, avançant à grandes enjambées. Son lieutenant, Osman, lui jeta un regard impénétrable. Osman était un homme grand, fort et souple que l'acier, avec un visage sombre vif.
"Mutiny, effendi,» répondit-il calmement. "Nous sommes malades de cette guerre nous nous battons pour les Allemands. Nous sommes malades de Djemal Pacha et les autres fous du Conseil de l'unité et du progrès, et, accessoirement, de vous. Donc, nous allons dans les collines pour construire une tribu de notre propre ".
«Folie!" balbutia l'officier, tirant sur son revolver. Même comme il l'a dessiné, Osman lui a tiré dans la tête.
