« Coquetel » pour une boisson française servie dans un coquetier et arrivée en Amérique au XVIII° siècle, « caqueter » pour les bavardages autour d’un verre plein, « colla de gallo » ou « cock’s tail » pour évoquer une « queue de coq » utilisée pour mélanger les ingrédients… autant d’étymologies pour une même réalité : le cocktail est coloré, a un goût original et ne ressemble à aucune boisson déjà existante.
Il n’y a guère de doute : le cocktail tel que nous le connaissons à l’heure actuelle est né à la fin du XVIII° siècle. Mais le mélange de breuvages, alcoolisés ou non, est bien plus ancien. Les Grecs mélangeaient vin et miel, les Romains ne buvaient jamais le vin pur. Rien cependant qui ne ressemble vraiment à la multiplication, au XIX° siècle, de boissons aussi différentes les unes que les autres.
Le tout premier cocktail serait né en 1803 en Géorgie ou en 1809 Virginie sous le nom de Mint Julep. Une autre légende raconte que, en 1779, une certaine Miss Betty Flanagan, tenancière de taverne près de Yorktown, invente un breuvage qu’elle sert dans une bouteille en forme de queue de coq aux soldats de Lafayette venus aider l’Amérique naissante.
Il n’y a guère de doute : le cocktail tel que nous le connaissons à l’heure actuelle est né à la fin du XVIII° siècle. Mais le mélange de breuvages, alcoolisés ou non, est bien plus ancien. Les Grecs mélangeaient vin et miel, les Romains ne buvaient jamais le vin pur. Rien cependant qui ne ressemble vraiment à la multiplication, au XIX° siècle, de boissons aussi différentes les unes que les autres.
Le tout premier cocktail serait né en 1803 en Géorgie ou en 1809 Virginie sous le nom de Mint Julep. Une autre légende raconte que, en 1779, une certaine Miss Betty Flanagan, tenancière de taverne près de Yorktown, invente un breuvage qu’elle sert dans une bouteille en forme de queue de coq aux soldats de Lafayette venus aider l’Amérique naissante.