Inspirés par des évènements vécus, les poèmes de ce livre sont courts, simples, parlent au coeur et à l'intellect. Un style libre du langage parlé, efficace pour aborder les thèmes personnels: faire de soi son meilleur ami,garder sa conviction et l'entretenir,vivre l'instant présent.
" Grande amatrice de poésie, j'ai apprécié ce joyeux recueil de poésies,toutes en fraîcheur, simplicité. Elles nous font sourire, elles nous interrogent, elles sont attachantes. Un livre haut en couleur pour ses illustrations et les émotions qui en émanent. Merci Gilberte, pour cet agréable moment de lecture" Mireille D.
"Des petits cailloux blancs, et on ressent l'envie de te suivre dans cette quête entre mouettes et vagues d'océan.
Gonfler avec toi nos poches voraces.
Dans la froidure du petit matin ou l'obscurité naissante d'un soir.
On te suit, on emprunte tes pas dessinés encore sur le sable.
Puis on pousse les portes du jardin intérieur.
Alors, on marche, on marche encore.
Sur notre peau la caresse du vent.
Nos yeux cherchent le visible et ce qui ne l'est pas, ce qui ne l'est plus.
Ils suivent le vol indiscipliné d'un bourdon.
Nos sens éveillés s'approprient le parfum de la pluie ou celui de la rose en bouton.
Et nos pas fervents et assurés nous mènent à l'essentiel de la vie.
Nous jetons à la rosée du matin nouveau les oripeaux de croyances inconscientes.
Merci Gilberte pour ce message." Patrick E.
" Grande amatrice de poésie, j'ai apprécié ce joyeux recueil de poésies,toutes en fraîcheur, simplicité. Elles nous font sourire, elles nous interrogent, elles sont attachantes. Un livre haut en couleur pour ses illustrations et les émotions qui en émanent. Merci Gilberte, pour cet agréable moment de lecture" Mireille D.
"Des petits cailloux blancs, et on ressent l'envie de te suivre dans cette quête entre mouettes et vagues d'océan.
Gonfler avec toi nos poches voraces.
Dans la froidure du petit matin ou l'obscurité naissante d'un soir.
On te suit, on emprunte tes pas dessinés encore sur le sable.
Puis on pousse les portes du jardin intérieur.
Alors, on marche, on marche encore.
Sur notre peau la caresse du vent.
Nos yeux cherchent le visible et ce qui ne l'est pas, ce qui ne l'est plus.
Ils suivent le vol indiscipliné d'un bourdon.
Nos sens éveillés s'approprient le parfum de la pluie ou celui de la rose en bouton.
Et nos pas fervents et assurés nous mènent à l'essentiel de la vie.
Nous jetons à la rosée du matin nouveau les oripeaux de croyances inconscientes.
Merci Gilberte pour ce message." Patrick E.
