Jörgen Sankt nous enseigne une méthode simple et étonnante pour apprendre à commander à son corps et à la maladie.
« Connaissez-vous ce mot de William Shakespeare ? « Mon corps est un jardin, ma volonté est son jardinier » .
Il y a quelques années, tandis que je me trouvais en pleine savane africaine au service d’une ONG humanitaire, un ami avec lequel je travaillais au développement de la région, me fit remarquer la plante de son pied gauche. Un trou brunâtre inquiétant était en train de s’y former. Sa profondeur avoisinait le centimètre. Le diagnostic était limpide, il était atteint de la terrible bilharziose, une parasitose des zones tropicales qui finit par vous ronger jusqu’à l’os et qui provoque chaque année sur la planète plus de 500 000 morts.
Nous nous trouvions dans une région parfaitement isolée et mon coéquipier ne voulut rien entendre lorsque je lui proposai de quitter immédiatement les lieux pour l’acheminer sur l’hôpital le plus proche. Il refusa et pénétra alors dans sa case tout en me demandant de ne pas le déranger même si cela devait prendre du temps… Le lendemain matin il s’isola à nouveau et, le surlendemain, reprit ses étranges exercices. Au bout de quelques jours la plante de son pied ne laissait déjà plus paraître qu’une légère tache superficielle qui disparut complètement dans la semaine qui suivit. Je n’en revenais pas. Il était parvenu à s’autoguérir d’une bilharziose sans la moindre intervention médicamenteuse,
Par la suite j’ai été témoin d’autres phénomènes de ce genre et je n’ai pas tardé d’expérimenter sur moi-même cette extraordinaire puissance du mental sur l’organisme. Je commençais à en saisir intuitivement les mécanismes et d’en deviner les fabuleuses applications… »
« Connaissez-vous ce mot de William Shakespeare ? « Mon corps est un jardin, ma volonté est son jardinier » .
Il y a quelques années, tandis que je me trouvais en pleine savane africaine au service d’une ONG humanitaire, un ami avec lequel je travaillais au développement de la région, me fit remarquer la plante de son pied gauche. Un trou brunâtre inquiétant était en train de s’y former. Sa profondeur avoisinait le centimètre. Le diagnostic était limpide, il était atteint de la terrible bilharziose, une parasitose des zones tropicales qui finit par vous ronger jusqu’à l’os et qui provoque chaque année sur la planète plus de 500 000 morts.
Nous nous trouvions dans une région parfaitement isolée et mon coéquipier ne voulut rien entendre lorsque je lui proposai de quitter immédiatement les lieux pour l’acheminer sur l’hôpital le plus proche. Il refusa et pénétra alors dans sa case tout en me demandant de ne pas le déranger même si cela devait prendre du temps… Le lendemain matin il s’isola à nouveau et, le surlendemain, reprit ses étranges exercices. Au bout de quelques jours la plante de son pied ne laissait déjà plus paraître qu’une légère tache superficielle qui disparut complètement dans la semaine qui suivit. Je n’en revenais pas. Il était parvenu à s’autoguérir d’une bilharziose sans la moindre intervention médicamenteuse,
Par la suite j’ai été témoin d’autres phénomènes de ce genre et je n’ai pas tardé d’expérimenter sur moi-même cette extraordinaire puissance du mental sur l’organisme. Je commençais à en saisir intuitivement les mécanismes et d’en deviner les fabuleuses applications… »