Dans la première partie du livre, l'auteur donne de l'information générale au lecteur sur le parcourt d'une personne, qui a été élevée dans une maison résidentielle appelée ''Pensionnat Indien.'' Il a connu l'acculturation, vécu l'assimilation. Imaginez les difficultés d'adaptations qu'il a eues, ne connaissant pas son histoire.Ce fut un long processus d'apprentissage, de développement personnel. Il est ignorant de ses origines. Donc, il part à la recherche de son identité. Il fait la rencontre d'un aîné au nord du Québec, qui lui montre et lui raconte les récits sur la vie traditionnelle et sur la spiritualité. Il apprend le respect de la force vitale dans tout ce qui vit. Quand l'animal est tué, son esprit rejoint le Grand-Esprit. Les aînés lui faisait porter un message, de lui préparer une place au paradis de la chasse et de la pêche.
Dans la deuxième partie du livre concerne la spiritualité autochtone. L'auteur travaille dans les pénitenciers fédérales au Québec, comme agent de liaison autochtone, pour organiser des activitées spirituelles, Tente de sudation ( Sweat Lodge ), cérémonies de la pipe Sacrée et de purification, en invitant des aînés autochtones. Il travaille avec des détenus autochtones dans ces pénitenciers. Avec le temps, la direction des programmes autochtones lui propose un travail d'intervenant autochtone comme aîné autochtone pour animer des cérémonies spirituelles à l'intérieur des pénitenciers, et pour aider les détenus autochtones dans leurs cheminements. La direction du pénitencier Donnacona lui demande faire de la sensibilisation autochtone auprès des personnes gravitant autour des détenus autochtones: des directeurs, des agents de programme, des professeurs, des agents de libération conditionnelle, des gardiens des agents de sports, afin de savoir sur la spiritualité autochtone. Il accepta leur suggestion. Cela se passa à la chapelle de la prison et les participants étaient au nombre de cinquante personnes avec de Caroline, l'agente de liaison. Il fait une prière et une une cérémonie pour l'ouverture de la réunion en invoquant des esprits des quatre directions. Après il fume la pipe Sacré, afin d'honorer ses ancêtres. Tout cela se passe, en langue Innu. Il demande aux participants, s'ils veulent savoir ce qu'il vient de faire, qui lui répondent par l'affirmative. Il leur dit: "Je vais tenter de vous expliquer quelque chose d'illimitée par des mots qui sont limités." Ce fut une longue scéance de sensibilisation. Après, il fait la rencontre des personnes qui sont hors du commun, qui lui montrent à travailler avec les énergies. Il continue d'être à la recherche pour son évolution personnel où il trouve sur la toile un passage sur un autochtone du Nouveau Mexique, qui fait arriver de la pluie.
Dans la deuxième partie du livre concerne la spiritualité autochtone. L'auteur travaille dans les pénitenciers fédérales au Québec, comme agent de liaison autochtone, pour organiser des activitées spirituelles, Tente de sudation ( Sweat Lodge ), cérémonies de la pipe Sacrée et de purification, en invitant des aînés autochtones. Il travaille avec des détenus autochtones dans ces pénitenciers. Avec le temps, la direction des programmes autochtones lui propose un travail d'intervenant autochtone comme aîné autochtone pour animer des cérémonies spirituelles à l'intérieur des pénitenciers, et pour aider les détenus autochtones dans leurs cheminements. La direction du pénitencier Donnacona lui demande faire de la sensibilisation autochtone auprès des personnes gravitant autour des détenus autochtones: des directeurs, des agents de programme, des professeurs, des agents de libération conditionnelle, des gardiens des agents de sports, afin de savoir sur la spiritualité autochtone. Il accepta leur suggestion. Cela se passa à la chapelle de la prison et les participants étaient au nombre de cinquante personnes avec de Caroline, l'agente de liaison. Il fait une prière et une une cérémonie pour l'ouverture de la réunion en invoquant des esprits des quatre directions. Après il fume la pipe Sacré, afin d'honorer ses ancêtres. Tout cela se passe, en langue Innu. Il demande aux participants, s'ils veulent savoir ce qu'il vient de faire, qui lui répondent par l'affirmative. Il leur dit: "Je vais tenter de vous expliquer quelque chose d'illimitée par des mots qui sont limités." Ce fut une longue scéance de sensibilisation. Après, il fait la rencontre des personnes qui sont hors du commun, qui lui montrent à travailler avec les énergies. Il continue d'être à la recherche pour son évolution personnel où il trouve sur la toile un passage sur un autochtone du Nouveau Mexique, qui fait arriver de la pluie.
