J’étais dans une voie sans issue. Un cul-de-sac. Une véritable impasse. L’avenir semblait alors ne pas avoir de couleur du tout. Je le voyais sombre. Très sombre, car cet avenir-là pour moi était le néant.
[…..] Je ne qualifie pas cette démission de courage ni de force, car prendre cette décision finale n’a rien de positif. Nous sommes dans le domaine du désespoir ultime et il n’y a pas de mots pour qualifier notre état psychique à ce moment-là. Nous atteignons une impasse mentale indicible où le monde sombre dans lequel nous vivons, aspire à se fondre dans la prétendue mère patrie que sont les ténèbres du néant.
Ainsi, l’acte en lui-même dit et explique tout.
Les gens, après notre départ, réalisent alors véritablement dans quel profond marasme nous nous trouvions. Dans mon cas, il n’y avait que la main de Dieu pour m’empêcher de commettre l’irréparable, car aucun être humain n’en aurait eu la capacité. Rejoindre ce néant si inexorable n’était qu’une question de temps.
[…..] Je ne qualifie pas cette démission de courage ni de force, car prendre cette décision finale n’a rien de positif. Nous sommes dans le domaine du désespoir ultime et il n’y a pas de mots pour qualifier notre état psychique à ce moment-là. Nous atteignons une impasse mentale indicible où le monde sombre dans lequel nous vivons, aspire à se fondre dans la prétendue mère patrie que sont les ténèbres du néant.
Ainsi, l’acte en lui-même dit et explique tout.
Les gens, après notre départ, réalisent alors véritablement dans quel profond marasme nous nous trouvions. Dans mon cas, il n’y avait que la main de Dieu pour m’empêcher de commettre l’irréparable, car aucun être humain n’en aurait eu la capacité. Rejoindre ce néant si inexorable n’était qu’une question de temps.