En regroupant, ici, des textes de science fiction écrits au cours de ces quinze dernières années, j’ai réalisé que le rythme des découvertes scientifiques dépassait de beaucoup ce que j’avais anticipé, et comment un horizon jusque là inaccessible s’était rapproché, et certains mirages devenaient envisageables !
« Aphrodisiaque » traite de l’évolution de la procréation et des mélanges génétiques,
« Chloé » de l’apparition de la conscience cérébrale dans une machine,
« L’univers du rien » de l’emploi quand les hommes sont remplacés par des programme,
« Mona Lisa Gherardini » des progrès inattendus et fabuleux des algorithmes,
« La conjecture du diable », du duo douleur/plaisir inhérent au vivant et de la terrible exemplarité du mal.
« Le bleu au féminin » de la nécessaire et irrésistible féminisation de la société,
« Yo » de notre monde dans huit cent ans, sachant qu’il y a huit cent ans, c’était l’époque des « Rois Maudits » et que la vitesse d’évolution du monde d’aujourd’hui ne cesse de croître.
« Aphrodisiaque » traite de l’évolution de la procréation et des mélanges génétiques,
« Chloé » de l’apparition de la conscience cérébrale dans une machine,
« L’univers du rien » de l’emploi quand les hommes sont remplacés par des programme,
« Mona Lisa Gherardini » des progrès inattendus et fabuleux des algorithmes,
« La conjecture du diable », du duo douleur/plaisir inhérent au vivant et de la terrible exemplarité du mal.
« Le bleu au féminin » de la nécessaire et irrésistible féminisation de la société,
« Yo » de notre monde dans huit cent ans, sachant qu’il y a huit cent ans, c’était l’époque des « Rois Maudits » et que la vitesse d’évolution du monde d’aujourd’hui ne cesse de croître.