Second volet d’une trilogie qui s’est ouverte avec Le Barbier de Séville, Le Mariage de Figaro raconte l’union contrariée entre le valet Figaro et sa bien-aimée Suzanne, que le seigneur de la maison poursuit de ses assiduités, et les ruses mises en place afin que ce dernier n’use pas de son droit de cuissage le soir des noces. Derrière cette comédie légère se cache une virulente critique de la société de l’Ancien Régime qui vaudra à son auteur de voir sa pièce interdite durant de longues années.
Après avoir présenté la vie ô combien mouvementée et aventureuse de Beaumarchais, Catherine Castaings résume l’intrigue de la pièce afin de rafraîchir la mémoire des lecteurs. Elle propose ensuite une mise en contexte de l’œuvre, nécessaire pour mieux comprendre le contexte d’écriture. Vient ensuite une analyse des personnages principaux. Le comte, la comtesse, Suzanne, Figaro et Chérubin sont ainsi tour à tour présentés. Puis, on entre dans l’analyse des thématiques principale où Catherine Castaings insiste fortement sur l’originalité de la pièce et son côté sulfureux, en évoquant la relation maître-serviteur, le badinage amoureux ainsi que la critique de la société d’Ancien Régime et de ses institutions. Avant de clore l’analyse, elle propose encore une étude du style de l’auteur dans laquelle elle évoque notamment l’art du portrait mais aussi les différentes formes de comique à l’œuvre dans la pièce. Pour terminer, elle revient sur le scandale né des premières lectures et le long combat qu’a dû mener Beaumarchais afin de faire jouer sa pièce.
Après avoir présenté la vie ô combien mouvementée et aventureuse de Beaumarchais, Catherine Castaings résume l’intrigue de la pièce afin de rafraîchir la mémoire des lecteurs. Elle propose ensuite une mise en contexte de l’œuvre, nécessaire pour mieux comprendre le contexte d’écriture. Vient ensuite une analyse des personnages principaux. Le comte, la comtesse, Suzanne, Figaro et Chérubin sont ainsi tour à tour présentés. Puis, on entre dans l’analyse des thématiques principale où Catherine Castaings insiste fortement sur l’originalité de la pièce et son côté sulfureux, en évoquant la relation maître-serviteur, le badinage amoureux ainsi que la critique de la société d’Ancien Régime et de ses institutions. Avant de clore l’analyse, elle propose encore une étude du style de l’auteur dans laquelle elle évoque notamment l’art du portrait mais aussi les différentes formes de comique à l’œuvre dans la pièce. Pour terminer, elle revient sur le scandale né des premières lectures et le long combat qu’a dû mener Beaumarchais afin de faire jouer sa pièce.