Le programme de géographie de terminale est organisé autour de la problématique « Mondialisation et dynamiques géographiques des territoires ».
La ville mondiale fait l’objet d’une étude de cas tandis que les espaces maritimes sont étudiés à une échelle plus petite. Le programme indique que ces espaces maritimes doivent faire l’objet d’une « approche géostratégique », ce qui signifie que leur étude doit refléter la hiérarchie des puissances. Il est donc profitable d’articuler la question des espaces majeurs et des marges avec cette question des espaces maritimes afin de démontrer le poids de la maîtrise des océans et des mers pour un État qui souhaite précisément ne pas rester en marge du processus de mondialisation.
Au moins quatre approches thématiques sont possibles, soit des espaces maritimes au cœur des échanges commerciaux ; au coeur des flux migratoires de clandestins ; aux prises avec les fléaux de la piraterie et du terrorisme ; objets d’une nouvelle gouvernance mondiale.
Le choix de la grille géostratégique ne permet pas d’écarter complètement la grille géo-économique, voire la grille géo-environnementale.
La perspective du développement durable transforme sensiblement la manière dont on peut traiter cette question. La préoccupation d’une gestion internationale des espaces maritimes s’est traduite en 1948 par la fondation de l’OMI (Organisation Maritime Internationale). En 1982, l’importance des espaces maritimes comme levier du développement est affirmée avec la Convention de Montego Bay (Jamaïque) qui conclut la troisième conférence sur le droit de la mer convoquée par l’ONU.
Depuis, les problématiques de durabilité ont sensiblement transformé la question des espaces maritimes, notamment en raison des questions soulevées par des effets du réchauffement climatique.
Dans une perspective de durabilité, au-delà de la préservation de la biodiversité qui demeure un objectif incontestable, le défi consiste à assurer une gestion plus sûre et plus équitable des espaces maritimes mondiaux en tant qu’espaces de production et en tant qu’espaces de circulation.
Il faut distinguer d’une part le potentiel productif de ces espaces et, d’autre part, leur fonction de circulation, de support aux transports, de ponts ou d’interfaces.
La recherche d’un consensus entre un plus grand nombre d’acteurs vise également à atteindre une « politique maritime intégrée » à l’image de ce que propose la Commission de Bruxelles à l’échelle de l’Europe.
La ville mondiale fait l’objet d’une étude de cas tandis que les espaces maritimes sont étudiés à une échelle plus petite. Le programme indique que ces espaces maritimes doivent faire l’objet d’une « approche géostratégique », ce qui signifie que leur étude doit refléter la hiérarchie des puissances. Il est donc profitable d’articuler la question des espaces majeurs et des marges avec cette question des espaces maritimes afin de démontrer le poids de la maîtrise des océans et des mers pour un État qui souhaite précisément ne pas rester en marge du processus de mondialisation.
Au moins quatre approches thématiques sont possibles, soit des espaces maritimes au cœur des échanges commerciaux ; au coeur des flux migratoires de clandestins ; aux prises avec les fléaux de la piraterie et du terrorisme ; objets d’une nouvelle gouvernance mondiale.
Le choix de la grille géostratégique ne permet pas d’écarter complètement la grille géo-économique, voire la grille géo-environnementale.
La perspective du développement durable transforme sensiblement la manière dont on peut traiter cette question. La préoccupation d’une gestion internationale des espaces maritimes s’est traduite en 1948 par la fondation de l’OMI (Organisation Maritime Internationale). En 1982, l’importance des espaces maritimes comme levier du développement est affirmée avec la Convention de Montego Bay (Jamaïque) qui conclut la troisième conférence sur le droit de la mer convoquée par l’ONU.
Depuis, les problématiques de durabilité ont sensiblement transformé la question des espaces maritimes, notamment en raison des questions soulevées par des effets du réchauffement climatique.
Dans une perspective de durabilité, au-delà de la préservation de la biodiversité qui demeure un objectif incontestable, le défi consiste à assurer une gestion plus sûre et plus équitable des espaces maritimes mondiaux en tant qu’espaces de production et en tant qu’espaces de circulation.
Il faut distinguer d’une part le potentiel productif de ces espaces et, d’autre part, leur fonction de circulation, de support aux transports, de ponts ou d’interfaces.
La recherche d’un consensus entre un plus grand nombre d’acteurs vise également à atteindre une « politique maritime intégrée » à l’image de ce que propose la Commission de Bruxelles à l’échelle de l’Europe.