Meilleurs livres. Livre 21: 1. Un cadet de famille; 2. Mémoires d'une aveugle; 3. L'Horoscope.
1. Un cadet de famille.
Publication: 1856.
Très tôt, le jeune Trelawney se révolte contre la brutale autorité paternelle. Mis en pension, il en est rapidement renvoyé en raison de son comportement violent. Son père l'envoie alors faire son apprentissage naval d'abord dans une école où il ne reste que peu de temps, puis sur une frégate anglaise en route pour les Indes. Lors d'une escale à Bombay, il se venge des outrages et humiliations subis pendant le voyage en molestant l'officier responsable. Obligé de déserter, il est alors pris sous la protection de De Ruyter qui lui accorde confiance et amitié.
Avec cet aventurier marchand qui s'est mis au service des Français dans le but de causer du tort au commerce anglais, Trelawney va assister et participer à de nombreux abordages, pillages, poursuites de vaisseaux dans les eaux de l'Océan indien.
A l'occasion d'un assaut contre des pirates à Madagascar, il s'éprend d'une jeune arabe Zéla dont il devient l'époux. Elle partage alors avec lui tous les dangers, qu'ils soient sur l'eau (intempéries, combats) ou sur les rivages abordés (chasse aux tigres, attaques de Javanais, serpents...). Mais ce bonheur va s'achever avec la mort de Zéla, empoisonnée pour avoir mangé des fruits offerts par une veuve malaise dont Trelawney avait méprisé les avances.
Désespéré et n'ayant plus goût à la vie, le jeune homme accompagne en France De Reyter, porteur de dépêches pour l'empereur Napoléon. C'est en Angleterre qu'il apprend la mort de son ami, tué du coté de Tunis.
2. Mémoires d'une aveugle.
Publication - 1856.
Sollicitée par ses amis intimes, la vieille marquise du Deffand, femme de lettres célèbre ayant tenu salon à Paris, devenue aveugle, se décide à dicter ses mémoires.
Marie de Chamrond, fille du comte de Vichy Chamrond, gentilhomme de Bourgogne, est destinée à la vie monastique et placée dès l'âge de six ans au couvent de la Madeleine du Traisnel à Paris. Passé l'innocence de l'âge tendre, elle prend conscience des contraintes sociales et se forge une opinion irrémédiable sur la religion et l'existence de Dieu qu'elle niera le reste de sa vie.
Forte de ce constat, elle refuse l'état monastique et entre dans le monde auprès de sa tante, madame de Luynes. Elle fait la connaissance du jeune Larnage, fils adultérin du duc du Maine, sans fortune et sans avenir. Après une idylle toute platonique qui inspirera Rousseau pour sa Nouvelle Héloïse, Mlle de Chamrond fait le choix d'un mariage d'intérêt; elle épouse, sans amour et sans illusion, le marquis du Deffand et fait sa véritable entrée dans la haute société.
3. L’Horoscope.
Publication: 1858.
Décembre 1559, le conseiller Dubourg est condamné à mort pour avoir remis en liberté un protestant, ce qui est interdit par le roi François II. Robert Stuart, son fils, cherche un moyen pour obtenir du roi la grâce de son père. A cette histoire politique se mêle celle du prince Louis de Condé. Épris de Charlotte de Saint-André - hôte du Louvre en compagnie du maréchal, son père - il se tient tous les soirs dans la cour du palais afin de la contempler de loin, à travers sa fenêtre.
Un soir, Stuart lance un message par la fenêtre du maréchal, espérant qu'il sera remis au roi. Un remue-ménage s'en suit. Condé saisit ce prétexte pour aller s'entretenir avec Charlotte. Celle-ci se moque de lui... et, lui offrant un mouchoir pour qu'il sèche ses larmes, elle lui donne en même temps, malencontreusement, le message qui s'y cachait.
1. Un cadet de famille.
Publication: 1856.
Très tôt, le jeune Trelawney se révolte contre la brutale autorité paternelle. Mis en pension, il en est rapidement renvoyé en raison de son comportement violent. Son père l'envoie alors faire son apprentissage naval d'abord dans une école où il ne reste que peu de temps, puis sur une frégate anglaise en route pour les Indes. Lors d'une escale à Bombay, il se venge des outrages et humiliations subis pendant le voyage en molestant l'officier responsable. Obligé de déserter, il est alors pris sous la protection de De Ruyter qui lui accorde confiance et amitié.
Avec cet aventurier marchand qui s'est mis au service des Français dans le but de causer du tort au commerce anglais, Trelawney va assister et participer à de nombreux abordages, pillages, poursuites de vaisseaux dans les eaux de l'Océan indien.
A l'occasion d'un assaut contre des pirates à Madagascar, il s'éprend d'une jeune arabe Zéla dont il devient l'époux. Elle partage alors avec lui tous les dangers, qu'ils soient sur l'eau (intempéries, combats) ou sur les rivages abordés (chasse aux tigres, attaques de Javanais, serpents...). Mais ce bonheur va s'achever avec la mort de Zéla, empoisonnée pour avoir mangé des fruits offerts par une veuve malaise dont Trelawney avait méprisé les avances.
Désespéré et n'ayant plus goût à la vie, le jeune homme accompagne en France De Reyter, porteur de dépêches pour l'empereur Napoléon. C'est en Angleterre qu'il apprend la mort de son ami, tué du coté de Tunis.
2. Mémoires d'une aveugle.
Publication - 1856.
Sollicitée par ses amis intimes, la vieille marquise du Deffand, femme de lettres célèbre ayant tenu salon à Paris, devenue aveugle, se décide à dicter ses mémoires.
Marie de Chamrond, fille du comte de Vichy Chamrond, gentilhomme de Bourgogne, est destinée à la vie monastique et placée dès l'âge de six ans au couvent de la Madeleine du Traisnel à Paris. Passé l'innocence de l'âge tendre, elle prend conscience des contraintes sociales et se forge une opinion irrémédiable sur la religion et l'existence de Dieu qu'elle niera le reste de sa vie.
Forte de ce constat, elle refuse l'état monastique et entre dans le monde auprès de sa tante, madame de Luynes. Elle fait la connaissance du jeune Larnage, fils adultérin du duc du Maine, sans fortune et sans avenir. Après une idylle toute platonique qui inspirera Rousseau pour sa Nouvelle Héloïse, Mlle de Chamrond fait le choix d'un mariage d'intérêt; elle épouse, sans amour et sans illusion, le marquis du Deffand et fait sa véritable entrée dans la haute société.
3. L’Horoscope.
Publication: 1858.
Décembre 1559, le conseiller Dubourg est condamné à mort pour avoir remis en liberté un protestant, ce qui est interdit par le roi François II. Robert Stuart, son fils, cherche un moyen pour obtenir du roi la grâce de son père. A cette histoire politique se mêle celle du prince Louis de Condé. Épris de Charlotte de Saint-André - hôte du Louvre en compagnie du maréchal, son père - il se tient tous les soirs dans la cour du palais afin de la contempler de loin, à travers sa fenêtre.
Un soir, Stuart lance un message par la fenêtre du maréchal, espérant qu'il sera remis au roi. Un remue-ménage s'en suit. Condé saisit ce prétexte pour aller s'entretenir avec Charlotte. Celle-ci se moque de lui... et, lui offrant un mouchoir pour qu'il sèche ses larmes, elle lui donne en même temps, malencontreusement, le message qui s'y cachait.