Jacques Rougeot, professeur émérite à la Sorbonne, met en cause le réseau serré d’interdits tissé par une nouvelle caste de bien-pensants qui s’arrogent le droit de censurer et qui, grâce à leur emprise sur les médias, sont parvenus à ostraciser un bon nombre de mots et d’opinions traditionnellement considérés comme innocents.
Cette entreprise d’étouffement de la liberté de pensée et d’expression à laquelle répond l’exclamation figaresque du titre, joue essentiellement sur la peur et la mauvaise conscience. Il faut que les Français se sentent en permanence coupables et menacés, de façon que ce peuple, dévitalisé et neutralisé, n’ait plus la force morale de défendre ce qui fait l’essence de son pays : son identité, sa civilisation.
Cette entreprise d’étouffement de la liberté de pensée et d’expression à laquelle répond l’exclamation figaresque du titre, joue essentiellement sur la peur et la mauvaise conscience. Il faut que les Français se sentent en permanence coupables et menacés, de façon que ce peuple, dévitalisé et neutralisé, n’ait plus la force morale de défendre ce qui fait l’essence de son pays : son identité, sa civilisation.