EXTRAIT :
« Aucun couché de soleil n’expire sans être aussitôt suivit par l’aurore » – Sur l’espoir
« Un arbre qui n’est pas bousculé par le vent est un arbre mort ! » - Sur le changement
« La démocratie est comme l’argent ; elle est fausse et irréel, le plus de personne y croit le plus tangible elle est, jusqu'à ce qu'elle devient la principale monnaie du royaume ; une fausse forme bienveillante de commerce est ce que elle est. » - Sur la démocratie
« C’est comme un tas de fumier; ça sent mauvais partout où tu le transporte. Fait ce que tu peux car tu ne peux rendre tout le monde heureux. » - Sur la politique
« L’amour meurt s’il n’a plus de terrain à conquérir et s’étouffe s’il a beaucoup d’espaces » - Sur l’amour
« La reconnaissance est l’art le plus sublime du respect. » - Sur le respect
Extrait du poème intitulé « Je voudrais » :
Je voudrais qu’on s’aime, qu’on se brûle, qu’on se déchire
Je voudrais qu’on se déchaîne, qu’on mugisse, qu’on danse
Qu’on se dévore, qu’on devient plusieurs, qu’on redevient infini
Que l’on sache ce que l’on veut, ce que l’on croit
Je voudrais que l’on meure pour ne plus mourir, et après avoir mourut qu’on se retrouve pour ne plus se perdre
Je voudrais ne plus vouloir et ne plus pouvoir, je voudrais que toi voir, et de toi m’en vouloir
Je voudrais l’infini, le profond, je voudrais être un pont pour ne plus passer
Un passé pour ne plus me casser, un désir pour toujours brûler
Je voudrais qu’on s’aime, que l’on devient !
« AIR DU LENDEMAIN : Le poids et la sonde » contient une collection de poèmes et d'aphorismes personnelles ; la collection traite de tous les sujets ; l'amour, la morale, la politique, la religion, le gouvernement, la guerre, le crime, l'âme, et un éventail d'autres expériences humaines.
Les pensées de ce livre sont en mouvement constant et sont présentés au lecteur d'une manière non linéaire ; tout comme à l’approche d’une source d'eau potable, sous le soleil impitoyable du désert, il appartient au lecteur de choisir le côté à partir duquel il veut étancher sa soif.
Le livre invite le lecteur à regarder au-delà des masses vers cette étincelle individuellement unique qui est dans son intimité profonde, et qui est la source de tout ce qu'il sait ou fait présage de ne pas savoir ; dans le cas de l'écrivain, il a choisi de se référer à cette source et de l’aborder avec le poids et la sonde.
Si vous cherchez à libérer votre esprit de la pensée institutionnelle, de l'extrémisme historique, des hypothèses vagues, et de la propagande, je crois que ce livre est un outil très fonctionnel.
Les graines de semences de la pensée ne sont pas le propre d’un terrain particulier mais du monde entier ; vous êtes donc priés de lire ce livre comme un pas vers votre propre progression non linéaire.
« Aucun couché de soleil n’expire sans être aussitôt suivit par l’aurore » – Sur l’espoir
« Un arbre qui n’est pas bousculé par le vent est un arbre mort ! » - Sur le changement
« La démocratie est comme l’argent ; elle est fausse et irréel, le plus de personne y croit le plus tangible elle est, jusqu'à ce qu'elle devient la principale monnaie du royaume ; une fausse forme bienveillante de commerce est ce que elle est. » - Sur la démocratie
« C’est comme un tas de fumier; ça sent mauvais partout où tu le transporte. Fait ce que tu peux car tu ne peux rendre tout le monde heureux. » - Sur la politique
« L’amour meurt s’il n’a plus de terrain à conquérir et s’étouffe s’il a beaucoup d’espaces » - Sur l’amour
« La reconnaissance est l’art le plus sublime du respect. » - Sur le respect
Extrait du poème intitulé « Je voudrais » :
Je voudrais qu’on s’aime, qu’on se brûle, qu’on se déchire
Je voudrais qu’on se déchaîne, qu’on mugisse, qu’on danse
Qu’on se dévore, qu’on devient plusieurs, qu’on redevient infini
Que l’on sache ce que l’on veut, ce que l’on croit
Je voudrais que l’on meure pour ne plus mourir, et après avoir mourut qu’on se retrouve pour ne plus se perdre
Je voudrais ne plus vouloir et ne plus pouvoir, je voudrais que toi voir, et de toi m’en vouloir
Je voudrais l’infini, le profond, je voudrais être un pont pour ne plus passer
Un passé pour ne plus me casser, un désir pour toujours brûler
Je voudrais qu’on s’aime, que l’on devient !
« AIR DU LENDEMAIN : Le poids et la sonde » contient une collection de poèmes et d'aphorismes personnelles ; la collection traite de tous les sujets ; l'amour, la morale, la politique, la religion, le gouvernement, la guerre, le crime, l'âme, et un éventail d'autres expériences humaines.
Les pensées de ce livre sont en mouvement constant et sont présentés au lecteur d'une manière non linéaire ; tout comme à l’approche d’une source d'eau potable, sous le soleil impitoyable du désert, il appartient au lecteur de choisir le côté à partir duquel il veut étancher sa soif.
Le livre invite le lecteur à regarder au-delà des masses vers cette étincelle individuellement unique qui est dans son intimité profonde, et qui est la source de tout ce qu'il sait ou fait présage de ne pas savoir ; dans le cas de l'écrivain, il a choisi de se référer à cette source et de l’aborder avec le poids et la sonde.
Si vous cherchez à libérer votre esprit de la pensée institutionnelle, de l'extrémisme historique, des hypothèses vagues, et de la propagande, je crois que ce livre est un outil très fonctionnel.
Les graines de semences de la pensée ne sont pas le propre d’un terrain particulier mais du monde entier ; vous êtes donc priés de lire ce livre comme un pas vers votre propre progression non linéaire.