Celse vient d'une famille distinguée. On connaît peu de choses de sa vie, mais il semble cependant certain qu'il ait vécu au temps de l'empereur Auguste (de la fin du ier siècle av. J.-C.. au début du ier siècle). Aulus Cornelius Celsus serait né à Vérone, il écrivit le De Artibus, ouvrage aujourd'hui disparu, une vaste encyclopédie couvrant des domaines aussi variés que l'agriculture, l'art militaire, la rhétorique, la philosophie, la jurisprudence et la médecine. Celse était un encyclopédiste. Selon le jugement de Quintilien (XII, c ri), il traitait avec un intérêt égal l'agriculture, l'art militaire et la médecine.
Il ne nous reste de lui qu'un traité de médecine, De Arte medica, en huit livres, l'ouvrage le plus précieux en ce genre que nous aient légué les Romains ; c'est un ouvrage précieux sur le fond comme sur la forme.
Il représente le premier ouvrage complet sur la profession médicale. Il fut le premier auteur médical dont l'œuvre fut imprimée en caractères mobiles (en l'an 1478). C'est un traité de médecine récapitulant toutes les connaissances accumulées depuis Hippocrate (médecin grec), il classe les maladies en trois catégories :
les maladies curables par le régime alimentaire (qui touchent les gens bien portants): Celse y distingue les maladies générales et les maladies locales ;
les maladies curables par les médicaments (les remèdes): l'encyclopédiste décrit les urgences médicales et les infections chroniques dont le traitement peut être retardé ;
les maladies curables par l'art manuel (la chirurgie): il y différencie les maladies d'organes et les maladies osseuses (du ressort de l'orthopédiste).
Il étudie avec soin les fièvres, les dysenteries infectieuses, et distingue les parasitoses intestinales à vers plats et à vers ronds. Celse réserve une place à part aux maladies saisonnières ainsi qu'à celles de l'adolescence et du grand âge. La pneumologie occupe une place importante dans son œuvre. Il fait une étude minutieuse des régimes alimentaires. Les 7e et 8e livres de son ouvrage sont consacrés à la chirurgie, dans lesquels il recense une cinquantaine d'instruments chirurgicaux. Son ouvrage est le plus important grâce à la précision et à la clarté des descriptions. Il consacre aussi un chapitre de son De Medicina aux cancers. Celse a des connaissances en ophtalmologie. Son ouvrage traite de 250 plantes1.
Plantes aromatiques, épices aromates, condiments et huiles essentielles de E. Teuscher, R. Anton et Annelise Lobstein.
Ce livre a été traduit de l'anglais vers le français. Il contient quelques erreurs de traduction et des mots non traduite. Rien de ce qui interfère avec la lecture ou de compréhension.
Il ne nous reste de lui qu'un traité de médecine, De Arte medica, en huit livres, l'ouvrage le plus précieux en ce genre que nous aient légué les Romains ; c'est un ouvrage précieux sur le fond comme sur la forme.
Il représente le premier ouvrage complet sur la profession médicale. Il fut le premier auteur médical dont l'œuvre fut imprimée en caractères mobiles (en l'an 1478). C'est un traité de médecine récapitulant toutes les connaissances accumulées depuis Hippocrate (médecin grec), il classe les maladies en trois catégories :
les maladies curables par le régime alimentaire (qui touchent les gens bien portants): Celse y distingue les maladies générales et les maladies locales ;
les maladies curables par les médicaments (les remèdes): l'encyclopédiste décrit les urgences médicales et les infections chroniques dont le traitement peut être retardé ;
les maladies curables par l'art manuel (la chirurgie): il y différencie les maladies d'organes et les maladies osseuses (du ressort de l'orthopédiste).
Il étudie avec soin les fièvres, les dysenteries infectieuses, et distingue les parasitoses intestinales à vers plats et à vers ronds. Celse réserve une place à part aux maladies saisonnières ainsi qu'à celles de l'adolescence et du grand âge. La pneumologie occupe une place importante dans son œuvre. Il fait une étude minutieuse des régimes alimentaires. Les 7e et 8e livres de son ouvrage sont consacrés à la chirurgie, dans lesquels il recense une cinquantaine d'instruments chirurgicaux. Son ouvrage est le plus important grâce à la précision et à la clarté des descriptions. Il consacre aussi un chapitre de son De Medicina aux cancers. Celse a des connaissances en ophtalmologie. Son ouvrage traite de 250 plantes1.
Plantes aromatiques, épices aromates, condiments et huiles essentielles de E. Teuscher, R. Anton et Annelise Lobstein.
Ce livre a été traduit de l'anglais vers le français. Il contient quelques erreurs de traduction et des mots non traduite. Rien de ce qui interfère avec la lecture ou de compréhension.