Dans le contexte de crise, économique, financière, monétaire, sociale, sociétale, écologique… qui touche le monde en cette fin de première décennie du 21ème siècle, l’auteur* de « Pour plus de solidarité entre le capital et le travail… » ( publié chez l’harmattan en 2004 et 2009) prolonge ici ses réflexions menées dans un cadre universitaire au tout début des années 2000 à propos du « resserrement des liens entre actionnaires et salariés dans les s.a. »…
De cette réflexion élargie, il ressort que des solutions à la crise en cours, à un futur durable, passent davantage par le partage de « ce qui est » que par une sempiternelle attente de croissance, devenue d’autant plus incertaine et probablement faible par comparaison à ce que connût la fin du siècle passé que, et entre autres entraves à notre désir de développement, il faudra bientôt « fabriquer » l’énergie dont notre mode de vie ne saurait se passer…, que des désastres environnementaux contrarieront nos projets, détruiront nos infrastructures…
Alors, l’entreprise, « agence de valorisations croisées » qui n’a su partager équitablement la croissance qu’elle a crée depuis une trentaine d’années, la finance, avec ses délires de production de valeurs virtuelles, représentent deux « organisations », cruciales, essentielles, dont il faut revisiter les défis et les stratégies si on souhaite éviter le pire, au plan social, au plan écologique…
…
Autant d’allégations exprimées au nom du citoyen ordinaire, d’un Pays, ou à propos du monde globalisé.
Note de l'auteur :
Nous remercions le lecteur de considérer cet ouvrage comme un « essai », sans doute ambitieux, car il tente à la fois une synthèse très sommaire des grands problèmes qui nous assaillent et ose la présentation de quelques pistes inédites pour y faire face, n’hésitant pas, si la justification de la proposition passe par un traitement mathématique, à le lui soumettre succinctement.
Nous avons aussi eu l’audace de proposer le néologisme « géocologie » pour signifier l’écologie « globale » dans sa dimension planétaire, en espérant que le lecteur voudra bien l’agréer et nous le remercions aussi pour cela !
Ce texte n’a aucune contrainte de lecture et peut l’être abordé par n’importe quel « point » d’entrée… une lecture qui peut se limiter à quelques uns d’entre eux, voire escamoter les passages mathématiques qui pourraient être rebutants.
Certaines figures sont empruntées à l’encyclopédie populaire « Wikipedia » qui offre tant de présentations facilement accessibles et assimilables par le plus grand nombre. Merci à elle, à ses initiateurs et à l’équipe qui l’anime…
Merci également à Laurent Leloup créateur du quotidien CFO-news.com, aujourd’hui Finyear, qui a suggéré ce projet et a contribué à sa réalisation…
Bonne lecture !
Rémi Guillet
De cette réflexion élargie, il ressort que des solutions à la crise en cours, à un futur durable, passent davantage par le partage de « ce qui est » que par une sempiternelle attente de croissance, devenue d’autant plus incertaine et probablement faible par comparaison à ce que connût la fin du siècle passé que, et entre autres entraves à notre désir de développement, il faudra bientôt « fabriquer » l’énergie dont notre mode de vie ne saurait se passer…, que des désastres environnementaux contrarieront nos projets, détruiront nos infrastructures…
Alors, l’entreprise, « agence de valorisations croisées » qui n’a su partager équitablement la croissance qu’elle a crée depuis une trentaine d’années, la finance, avec ses délires de production de valeurs virtuelles, représentent deux « organisations », cruciales, essentielles, dont il faut revisiter les défis et les stratégies si on souhaite éviter le pire, au plan social, au plan écologique…
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Autant d’allégations exprimées au nom du citoyen ordinaire, d’un Pays, ou à propos du monde globalisé.
Note de l'auteur :
Nous remercions le lecteur de considérer cet ouvrage comme un « essai », sans doute ambitieux, car il tente à la fois une synthèse très sommaire des grands problèmes qui nous assaillent et ose la présentation de quelques pistes inédites pour y faire face, n’hésitant pas, si la justification de la proposition passe par un traitement mathématique, à le lui soumettre succinctement.
Nous avons aussi eu l’audace de proposer le néologisme « géocologie » pour signifier l’écologie « globale » dans sa dimension planétaire, en espérant que le lecteur voudra bien l’agréer et nous le remercions aussi pour cela !
Ce texte n’a aucune contrainte de lecture et peut l’être abordé par n’importe quel « point » d’entrée… une lecture qui peut se limiter à quelques uns d’entre eux, voire escamoter les passages mathématiques qui pourraient être rebutants.
Certaines figures sont empruntées à l’encyclopédie populaire « Wikipedia » qui offre tant de présentations facilement accessibles et assimilables par le plus grand nombre. Merci à elle, à ses initiateurs et à l’équipe qui l’anime…
Merci également à Laurent Leloup créateur du quotidien CFO-news.com, aujourd’hui Finyear, qui a suggéré ce projet et a contribué à sa réalisation…
Bonne lecture !
Rémi Guillet