Elle a vu de merveilleux chevaux dans les écuries fameuses
de sa ville natale et cependant ceux dont elle se souvient avec
le plus de plaisir, ce sont les trois chevaux blancs attelés à la
troïka de son amant, le grand-duc André Pétrovitch :
« J’avais à ma disposition la troïka de mon amant à laquelle
étaient attelés les trois plus beaux chevaux de toute la Russie.
Ils étaient aussi blancs que la neige et on les estimait un
million pièce. Leurs queues traînaient presque jusqu’à terre. Ils
allaient comme le vent et le cocher qui les guidait était le plus
gros que l’on sût voir. »
de sa ville natale et cependant ceux dont elle se souvient avec
le plus de plaisir, ce sont les trois chevaux blancs attelés à la
troïka de son amant, le grand-duc André Pétrovitch :
« J’avais à ma disposition la troïka de mon amant à laquelle
étaient attelés les trois plus beaux chevaux de toute la Russie.
Ils étaient aussi blancs que la neige et on les estimait un
million pièce. Leurs queues traînaient presque jusqu’à terre. Ils
allaient comme le vent et le cocher qui les guidait était le plus
gros que l’on sût voir. »