« La femme-philosophe » est la troisième partie de la Trilogie « Une bulle d’air en devenir ».
Le 1er volume est « Oui maman je serai sage », et le second est « La quête de soi».
Le fil d’Ariane continue de se dérouler pour révéler son identité à cette femme perdue dans la méconnaissance de soi.
« La femme-philosophe », c’est une nouvelle perception de soi et du monde.
La femme-philosophe ne s’interroge plus, car elle sait.
Elle sait qu’elle est éphémère comme l’eau et l’air et elle accepte de s’y noyer.
Elle a renoncé à naviguer dans les « On » pour assumer haut et fort son « Je ».
Elle assume la contradiction comme elle assume sa vulnérabilité « J’ai soif et j’ai peur de vivre. » Elle se nourrit d’une poésie qu’elle tente de définir.
« La poésie, c’est l’aile d’un ange qui dessine des mots dans un socle d’éternité. »
Elle livre au lecteur le secret de sa relation intime à l’écriture.
Lorsque l’expérience de ce regard vers l’intérieur atteindra son terme, il lui faudra choisir entre périr dans cet isolement ou franchir un mur symbolique pour s’expulser de cette expérience introspective et faire se joindre son humanité à celle de l’humanité.
La narratrice assume sa féminité dans son regard sur le monde grâce au réceptacle de vide dont l’écriture l’enveloppe.
Le 1er volume est « Oui maman je serai sage », et le second est « La quête de soi».
Le fil d’Ariane continue de se dérouler pour révéler son identité à cette femme perdue dans la méconnaissance de soi.
« La femme-philosophe », c’est une nouvelle perception de soi et du monde.
La femme-philosophe ne s’interroge plus, car elle sait.
Elle sait qu’elle est éphémère comme l’eau et l’air et elle accepte de s’y noyer.
Elle a renoncé à naviguer dans les « On » pour assumer haut et fort son « Je ».
Elle assume la contradiction comme elle assume sa vulnérabilité « J’ai soif et j’ai peur de vivre. » Elle se nourrit d’une poésie qu’elle tente de définir.
« La poésie, c’est l’aile d’un ange qui dessine des mots dans un socle d’éternité. »
Elle livre au lecteur le secret de sa relation intime à l’écriture.
Lorsque l’expérience de ce regard vers l’intérieur atteindra son terme, il lui faudra choisir entre périr dans cet isolement ou franchir un mur symbolique pour s’expulser de cette expérience introspective et faire se joindre son humanité à celle de l’humanité.
La narratrice assume sa féminité dans son regard sur le monde grâce au réceptacle de vide dont l’écriture l’enveloppe.
