De la nature de la morale. Elle fait partie de la politique. — Il faut étudier la vertu surtout à un point de vue
pratique, afin de la connaître et de l’acquérir. — Travaux antérieurs : Pythagore, Socrate, Platon ; défauts de
leurs théories. L’auteur essaiera de les compléter. — Principes généraux sur le bien. La politique qui est le premier
des arts, doit étudier le bien applicable à l’homme. De l’idée du bien. Du bien réel et commun dans les choses. — Rôle
de la définition et de l’induction dans cette étude. — La politique et la morale n’ont point à s’occuper de l’idée
absolue du bien : le bien est dans toutes les catégories, et chaque bien spécial est l’objet d’un art spécial. — Erreur
de Socrate qui prenait la vertu pour une science...
pratique, afin de la connaître et de l’acquérir. — Travaux antérieurs : Pythagore, Socrate, Platon ; défauts de
leurs théories. L’auteur essaiera de les compléter. — Principes généraux sur le bien. La politique qui est le premier
des arts, doit étudier le bien applicable à l’homme. De l’idée du bien. Du bien réel et commun dans les choses. — Rôle
de la définition et de l’induction dans cette étude. — La politique et la morale n’ont point à s’occuper de l’idée
absolue du bien : le bien est dans toutes les catégories, et chaque bien spécial est l’objet d’un art spécial. — Erreur
de Socrate qui prenait la vertu pour une science...