Prévoir l'avenir est une opération délicate, normalement ou anormalement, dévolue aux prophètes et aux voyants.
Et pourtant, sans prétendre faire partie d'une quelconque de ces deux catégories généralement autoproclamées, nous pouvons d'ores et déjà envisager les grands changements qui nous attendent tout au long de ce siècle qui commence.
Car, bizarrement, ce XXIe siècle se présente comme le XVIe siècle qui, en France, porte le nom de RENAISSANCE.
Après les épouvantables massacres de deux guerres mondiales et les autres diverses tueries moyenâgeuses du siècle précédent, nous sommes à l'orée de transformations radicales. Elles auront un impact considérables sur les techniques, mais il serait bon qu'elles en aient aussi un sur les mentalités et les modes de vie.
La Renaissance a proposé de considérer l'Homme autrement. Elle lui a trouvé d'autres valeurs pour le motiver, d'autres mythes pour le faire aller de l'avant.
Renaître, c'est aussi mourir. On va devoir mourir aux énergies anciennes, aux livres papier qui ont marqué 500 ans, aux lois qui ne correspondent plus à la modernité, à l'application aussi de ces lois, à la vision surannée que trop d'entre nous ont encore des femmes, aux peurs des nouveautés.
Ce XXIe siècle sera obligatoirement celui d'une Renaissance pour beaucoup de pays de par le monde. Malgré la Crise actuelle, nous sommes idéalement placés pour être de ceux-là. Encore faut-il bien se positionner et aller de l'avant sans nos traditionnelles réticences. Nous avions pris l'habitude d'être en retard d'une guerre, maintenant ne soyons pas en retard d'une paix. Innovons.
Si nous arrivons à changer, chez nous, mentalités et techniques, éducation et application des lois, nous allons connaître LA SECONDE RENAISSANCE. Sinon nous passerions à côté de chances qui profiterons à d'autres.
Et pourtant, sans prétendre faire partie d'une quelconque de ces deux catégories généralement autoproclamées, nous pouvons d'ores et déjà envisager les grands changements qui nous attendent tout au long de ce siècle qui commence.
Car, bizarrement, ce XXIe siècle se présente comme le XVIe siècle qui, en France, porte le nom de RENAISSANCE.
Après les épouvantables massacres de deux guerres mondiales et les autres diverses tueries moyenâgeuses du siècle précédent, nous sommes à l'orée de transformations radicales. Elles auront un impact considérables sur les techniques, mais il serait bon qu'elles en aient aussi un sur les mentalités et les modes de vie.
La Renaissance a proposé de considérer l'Homme autrement. Elle lui a trouvé d'autres valeurs pour le motiver, d'autres mythes pour le faire aller de l'avant.
Renaître, c'est aussi mourir. On va devoir mourir aux énergies anciennes, aux livres papier qui ont marqué 500 ans, aux lois qui ne correspondent plus à la modernité, à l'application aussi de ces lois, à la vision surannée que trop d'entre nous ont encore des femmes, aux peurs des nouveautés.
Ce XXIe siècle sera obligatoirement celui d'une Renaissance pour beaucoup de pays de par le monde. Malgré la Crise actuelle, nous sommes idéalement placés pour être de ceux-là. Encore faut-il bien se positionner et aller de l'avant sans nos traditionnelles réticences. Nous avions pris l'habitude d'être en retard d'une guerre, maintenant ne soyons pas en retard d'une paix. Innovons.
Si nous arrivons à changer, chez nous, mentalités et techniques, éducation et application des lois, nous allons connaître LA SECONDE RENAISSANCE. Sinon nous passerions à côté de chances qui profiterons à d'autres.
