Un voyage dans le passé qui bouleverse le présent...
Après le décès de son père, Sylvia Gutmanster se lance à vélo dans un pèlerinage à travers la Pologne, sur les traces d’une enfance qu’elle veut ranimer. Mais ce qui est demeuré invisible doit peut-être le rester. Pour elle, le passé revient et se mêle au présent. Les personnages d’autrefois, réels ou mythiques, lui répondent comme dans un jeu de miroir. Au terme de ce voyage, la voix intérieure, qui hante Sylvia depuis toujours, trouvera-t-elle enfin la paix ?
Découvrez dès à présent le dernier roman d'Evelyne Dress et laissez-vous emporter dans le flot des souvenirs !
EXTRAIT
Parce que j’avais voulu croire que mon père serait toujours à mes côtés, je ne l’avais jamais questionné sur sa vie. Maintenant qu’il m’avait quittée, je m’apercevais que je ne savais presque rien de lui, à part qu’il était né à Garwolin, district de Lublin, à une soixantaine de kilomètres de Varsovie.
À la rédaction du journal, tout le monde m’avait prévenue : « Si tu veux retrouver ta parenté, tu ferais mieux de demander de l’aide à un généalogiste. » Je l’avais fait. Je m’étais adressée à l’un des plus réputés de la capitale, mais la mairie de Garwolin lui ayant répondu qu’elle n’avait trouvé aucune trace de la famille Gutmanster dans son district, il avait renoncé. Son manque de combativité m’avait forcée à partir moi-même à l’assaut de ma généalogie et, du même coup, à abandonner mon poste, avec le risque qu’un autre s’en empare. La télévision est un milieu impitoyable.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Evelyne Dress est actrice : Et la Tendresse ? Bordel !, réalisatrice : Pas d’Amour sans Amour, écrivain : Pas d’Amour sans Amour, La Maison de Petichet, Les tournesols de Jérusalem (Prix des libraires de Normandie), Le Rendez-vous de Rangoon. C'est sur les planches qu'elle a débuté sa carrière, avant d'enchaîner les rôles au cinéma et de se lancer dans l'écriture et la réalisation. Pour Les Chemins de Garwolin, son cinquième roman, elle est partie du postulat qu’on ne sait rien de la vie de nos parents et qu’en disparaissant ils nous laissent démunis. Au lieu d’inventer une histoire à son héroïne, Evelyne Dress a choisi de lui donner la sienne et celle de ses ascendants.
Après le décès de son père, Sylvia Gutmanster se lance à vélo dans un pèlerinage à travers la Pologne, sur les traces d’une enfance qu’elle veut ranimer. Mais ce qui est demeuré invisible doit peut-être le rester. Pour elle, le passé revient et se mêle au présent. Les personnages d’autrefois, réels ou mythiques, lui répondent comme dans un jeu de miroir. Au terme de ce voyage, la voix intérieure, qui hante Sylvia depuis toujours, trouvera-t-elle enfin la paix ?
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EXTRAIT
Parce que j’avais voulu croire que mon père serait toujours à mes côtés, je ne l’avais jamais questionné sur sa vie. Maintenant qu’il m’avait quittée, je m’apercevais que je ne savais presque rien de lui, à part qu’il était né à Garwolin, district de Lublin, à une soixantaine de kilomètres de Varsovie.
À la rédaction du journal, tout le monde m’avait prévenue : « Si tu veux retrouver ta parenté, tu ferais mieux de demander de l’aide à un généalogiste. » Je l’avais fait. Je m’étais adressée à l’un des plus réputés de la capitale, mais la mairie de Garwolin lui ayant répondu qu’elle n’avait trouvé aucune trace de la famille Gutmanster dans son district, il avait renoncé. Son manque de combativité m’avait forcée à partir moi-même à l’assaut de ma généalogie et, du même coup, à abandonner mon poste, avec le risque qu’un autre s’en empare. La télévision est un milieu impitoyable.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Evelyne Dress est actrice : Et la Tendresse ? Bordel !, réalisatrice : Pas d’Amour sans Amour, écrivain : Pas d’Amour sans Amour, La Maison de Petichet, Les tournesols de Jérusalem (Prix des libraires de Normandie), Le Rendez-vous de Rangoon. C'est sur les planches qu'elle a débuté sa carrière, avant d'enchaîner les rôles au cinéma et de se lancer dans l'écriture et la réalisation. Pour Les Chemins de Garwolin, son cinquième roman, elle est partie du postulat qu’on ne sait rien de la vie de nos parents et qu’en disparaissant ils nous laissent démunis. Au lieu d’inventer une histoire à son héroïne, Evelyne Dress a choisi de lui donner la sienne et celle de ses ascendants.