Maurice Barrès, né le 19 août 1862 à Charmes (Vosges) et mort le 4 décembre 1923 à Neuilly-sur-Seine (Seine), était un écrivain et homme politique français, figure de proue du nationalisme français.
Le premier axe de sa pensée est « le culte du Moi » : Barrès affirme que notre premier devoir est de défendre notre moi contre les Barbares, c'est-à-dire contre tout ce qui risque de l'affaiblir dans l'épanouissement de sa propre sensibilité. Le second axe est résumé par l'expression « La terre et les morts » qu'approfondissent les trois volumes du Roman de l'énergie nationale : Les Déracinés (1897), L'Appel au soldat (1900) et Leurs Figures (1902) qui témoignent de l'évolution de Maurice Barrès vers le nationalisme républicain et le traditionalisme, l'attachement aux racines, à la famille, à l'armée et à la terre natale.
Il est resté l'un des maîtres à penser de la droite nationaliste durant l'entre-deux-guerres.
Maurice Barrès est élu le 18 janvier 1906 à l'Académie française où il succède à José-Maria de Heredia
Romancier-voyageur parallèlement à son activité politique, Maurice Barrès publie plusieurs essais (Les amitiés françaises, 1903 ; Ce que j'ai vu au temps du Panama, 1906), des recueils d'articles ou de discours (Chronique de la Grande Guerre, 1914-1920), ainsi que ses Cahiers (1896-1929). En 1907, il rachète le château de Mirabeau à l'écrivaine Gyp.
Découvrez sans plus tarder l'intégrale des 5 oeuvres et des 3 discours de Maurice Barrès membre de l'Académie Française, durant la période de 1905 à 1913 (pour les œuvres) et 1899 à 1912 (pour les discours) :
Un voyage à Sparte
Colette Baudoche
Adieu à Moréas
Le Bi-centenaire de Jean-Jacques Rousseau
La colline inspirée
La Terre et les morts
Discours de réception à l’Académie Française
Les traits éternels de la France
Le premier axe de sa pensée est « le culte du Moi » : Barrès affirme que notre premier devoir est de défendre notre moi contre les Barbares, c'est-à-dire contre tout ce qui risque de l'affaiblir dans l'épanouissement de sa propre sensibilité. Le second axe est résumé par l'expression « La terre et les morts » qu'approfondissent les trois volumes du Roman de l'énergie nationale : Les Déracinés (1897), L'Appel au soldat (1900) et Leurs Figures (1902) qui témoignent de l'évolution de Maurice Barrès vers le nationalisme républicain et le traditionalisme, l'attachement aux racines, à la famille, à l'armée et à la terre natale.
Il est resté l'un des maîtres à penser de la droite nationaliste durant l'entre-deux-guerres.
Maurice Barrès est élu le 18 janvier 1906 à l'Académie française où il succède à José-Maria de Heredia
Romancier-voyageur parallèlement à son activité politique, Maurice Barrès publie plusieurs essais (Les amitiés françaises, 1903 ; Ce que j'ai vu au temps du Panama, 1906), des recueils d'articles ou de discours (Chronique de la Grande Guerre, 1914-1920), ainsi que ses Cahiers (1896-1929). En 1907, il rachète le château de Mirabeau à l'écrivaine Gyp.
Découvrez sans plus tarder l'intégrale des 5 oeuvres et des 3 discours de Maurice Barrès membre de l'Académie Française, durant la période de 1905 à 1913 (pour les œuvres) et 1899 à 1912 (pour les discours) :
Un voyage à Sparte
Colette Baudoche
Adieu à Moréas
Le Bi-centenaire de Jean-Jacques Rousseau
La colline inspirée
La Terre et les morts
Discours de réception à l’Académie Française
Les traits éternels de la France