« L’existence précède l’essence. » Cette locution bien connue de Jean-Paul Sartre est au centre de son ouvrage L’existentialisme est un humanisme, dont la vocation est de répondre à ses détracteurs en argumentant sa thèse existentialiste et, par là même, rendre sa pensée accessible à un public plus élargi. Si ses idées font toujours débat aujourd’hui, Sartre a le mérite d’avoir marqué son époque par sa personnalité multiple d’écrivain engagé, de philosophe et d’homme médiatique controversé.
Après une courte introduction qui présente l’auteur et son œuvre, Aaron Hortui nous retrace la vie de Jean-Paul Sartre, évoquant son enfance tournée vers la lecture, sa liaison sulfureuse avec Simone de Beauvoir, ses débuts littéraires et son engagement politique. Elle dresse un résumé complet de l’essai L’existentialisme est un humanisme, et revient également sur son contexte de parution en réaction aux critiques émises par les catholiques et les marxistes. L’auteure nous propose ensuite une analyse détaillée des thèmes et des notions philosophiques abordées dans ce texte fondamental sur la philosophie sartrienne, tels que bien évidemment l’existentialisme, mais aussi la liberté, l’humanisme, la morale ou encore la responsabilité. Elle se penche finalement sur l’étude de la réception de cet ouvrage, dont l’accueil a été plutôt mitigé, tant chez ses détracteurs qu’auprès de ses confrères philosophes.
Après une courte introduction qui présente l’auteur et son œuvre, Aaron Hortui nous retrace la vie de Jean-Paul Sartre, évoquant son enfance tournée vers la lecture, sa liaison sulfureuse avec Simone de Beauvoir, ses débuts littéraires et son engagement politique. Elle dresse un résumé complet de l’essai L’existentialisme est un humanisme, et revient également sur son contexte de parution en réaction aux critiques émises par les catholiques et les marxistes. L’auteure nous propose ensuite une analyse détaillée des thèmes et des notions philosophiques abordées dans ce texte fondamental sur la philosophie sartrienne, tels que bien évidemment l’existentialisme, mais aussi la liberté, l’humanisme, la morale ou encore la responsabilité. Elle se penche finalement sur l’étude de la réception de cet ouvrage, dont l’accueil a été plutôt mitigé, tant chez ses détracteurs qu’auprès de ses confrères philosophes.