L’auteur, au travers de cette autobiographie, livre l’histoire du petit garçon qu’il fût, de ce petit Mischko, ainsi surnommé par son oncle et ses grands-parents affectueux
L’histoire de Mischko débute à l’aube d’une vie, vécue par l’auteur quelque part dans les campagnes balkaniques. Une enfance idyllique savamment orchestrée au sein d’un cocon familial, le nourrira de songes, de douces illusions, qui vont se heurter à la dure réalité, un temps cachée par des proches très soucieux de son équilibre.
Confronté très tôt aux déchirures de ses jeunes parents, aux séparations dramatiques, il n’aura de cesse de vouloir grandir plus vite, de vouloir s’émanciper d’une domination paternelle étouffante. Arraché à l’amour de son grand-père omniprésent, emmené par son père dans une France qui se remettait encore des événements de 1968, il sera cette fois confronté au destin sans retour, de tout immigré qu’il deviendra bien malgré lui. À l’âge où tout collégien pouvait s’enorgueillir d’avoir quitté l’école primaire avec succès, Mischko n’aura que très peu de temps, pour mettre au niveau français les onze années de vécu yougoslave. C’est ainsi qu’il consumera sa jeunesse à l’image d’un feu de paille, l’enfant pressé en s’emballant, pensait tout arranger, tout réussir……
L’optimiste succombera aux blessures de l’utopiste désenchanté par un destin, qui détruira un à un, tous les refuges illusoires dont il s’était paré.
L’histoire de Mischko débute à l’aube d’une vie, vécue par l’auteur quelque part dans les campagnes balkaniques. Une enfance idyllique savamment orchestrée au sein d’un cocon familial, le nourrira de songes, de douces illusions, qui vont se heurter à la dure réalité, un temps cachée par des proches très soucieux de son équilibre.
Confronté très tôt aux déchirures de ses jeunes parents, aux séparations dramatiques, il n’aura de cesse de vouloir grandir plus vite, de vouloir s’émanciper d’une domination paternelle étouffante. Arraché à l’amour de son grand-père omniprésent, emmené par son père dans une France qui se remettait encore des événements de 1968, il sera cette fois confronté au destin sans retour, de tout immigré qu’il deviendra bien malgré lui. À l’âge où tout collégien pouvait s’enorgueillir d’avoir quitté l’école primaire avec succès, Mischko n’aura que très peu de temps, pour mettre au niveau français les onze années de vécu yougoslave. C’est ainsi qu’il consumera sa jeunesse à l’image d’un feu de paille, l’enfant pressé en s’emballant, pensait tout arranger, tout réussir……
L’optimiste succombera aux blessures de l’utopiste désenchanté par un destin, qui détruira un à un, tous les refuges illusoires dont il s’était paré.