L’auteur présente une méthode innovante permettant d'abolir le déficit public et la dette qui en résulte, sans verser de sang ni de larmes – comme tous les dirigeants politiques semblent aujourd’hui s’y résoudre.
Ce dispositif transformerait des libéralités – les aides de l’État aux entreprises – en crédits, puis les administrerait par un réseau alternatif plus diffus, plus direct, mieux informé et plus réactif que le réseau politico-bureaucratico-bancaire actuel : celui des citoyens eux-mêmes.
L’auteur montre comment – en administrant ainsi les deux cents milliards annuels d’aides publiques à l’industrie identifiées et sévèrement critiquées par la Cour des comptes – on pourrait :
- Retrouver un excédent budgétaire dès la première année ;
- Annuler en quinze ans la dette publique ;
- Ouvrir à toutes les entreprises, dans le même laps de temps, jusqu’à deux mille milliards de lignes de crédit à taux réduit ;
- Sécuriser, en diminuant de deux cents jours leur BFR, le développement de ces mêmes entreprises – notamment de ces ETI qui nous font tant défaut, dans la tranche des deux cents à deux mille salariés, si déterminantes pour la réussite de l’Allemagne ;
- Renforcer ce faisant le lien des salariés à leurs employeurs ;
- Et pour finir relancer l’investissement et la consommation en restituant aux contribuables – entreprises comme particuliers – deux cents milliards par an d’impôts et de taxes.
Cette réforme accroîtrait la compétitivité des entreprises en les affranchissant de la tyrannie des cycles économiques comme de la volatilité des marchés et aurait des effets positifs sur la création d’emplois nouveaux et la sauvegarde des emplois existants.
Elle aurait par ailleurs des impacts économiques et sociaux de grande portée, notamment en rééquilibrant le rapport capital-travail, de façon significative, en faveur du travail.
En nous libérant de l’emprise de la finance internationale, enfin, elle rendrait à l’État ses capacités de manœuvre et à la France sa souveraineté.
Ce dispositif transformerait des libéralités – les aides de l’État aux entreprises – en crédits, puis les administrerait par un réseau alternatif plus diffus, plus direct, mieux informé et plus réactif que le réseau politico-bureaucratico-bancaire actuel : celui des citoyens eux-mêmes.
L’auteur montre comment – en administrant ainsi les deux cents milliards annuels d’aides publiques à l’industrie identifiées et sévèrement critiquées par la Cour des comptes – on pourrait :
- Retrouver un excédent budgétaire dès la première année ;
- Annuler en quinze ans la dette publique ;
- Ouvrir à toutes les entreprises, dans le même laps de temps, jusqu’à deux mille milliards de lignes de crédit à taux réduit ;
- Sécuriser, en diminuant de deux cents jours leur BFR, le développement de ces mêmes entreprises – notamment de ces ETI qui nous font tant défaut, dans la tranche des deux cents à deux mille salariés, si déterminantes pour la réussite de l’Allemagne ;
- Renforcer ce faisant le lien des salariés à leurs employeurs ;
- Et pour finir relancer l’investissement et la consommation en restituant aux contribuables – entreprises comme particuliers – deux cents milliards par an d’impôts et de taxes.
Cette réforme accroîtrait la compétitivité des entreprises en les affranchissant de la tyrannie des cycles économiques comme de la volatilité des marchés et aurait des effets positifs sur la création d’emplois nouveaux et la sauvegarde des emplois existants.
Elle aurait par ailleurs des impacts économiques et sociaux de grande portée, notamment en rééquilibrant le rapport capital-travail, de façon significative, en faveur du travail.
En nous libérant de l’emprise de la finance internationale, enfin, elle rendrait à l’État ses capacités de manœuvre et à la France sa souveraineté.