Sur l’écran, la tache bleue s’agrandissait, noyant pays après pays…
- Si l’astéroïde frappe le Pacifique, il ne restera des pays d’Asie que les confins du massif Himalayen. L’Australie, la Nouvelle-Zélande et toutes les îles disparaîtraient sous les eaux, de même que la côte ouest des Etats-Unis.
Deuxième hypothèse de travail : il percute la terre au centre de l’Europe, de l’Asie et des Amériques. L’énergie cinétique libérée par le choc, étant donné la densité de l’astéroïde, sa masse, et la vitesse de l’impact, serait de plusieurs millions de mégatonnes de TNT. Outre les effets directs provoqués par le choc et l’onde de choc – tremblements de terre, etc. – le nuage de particules projeté dans l’atmosphère provoquerait l’équivalent d’un hiver nucléaire : le rayonnement solaire serait occulté par l’épais nuage, la température baisserait de plusieurs dizaines de degrés : la plus grande partie de la population de la terre disparaîtrait, tuée par le froid ou par la faim. La destruction de toutes les centrales nucléaires, faute de personnel pour les entretenir, provoquerait des dizaines de Tchernobyl. Les pandémies viendraient sans doute à bout des populations survivantes.
Tous trois étaient restés figés durant les quelques minutes de la simulation, silencieux.
- Les étoiles se mettront à tomber du ciel… dit enfin le père.
- Si l’astéroïde frappe le Pacifique, il ne restera des pays d’Asie que les confins du massif Himalayen. L’Australie, la Nouvelle-Zélande et toutes les îles disparaîtraient sous les eaux, de même que la côte ouest des Etats-Unis.
Deuxième hypothèse de travail : il percute la terre au centre de l’Europe, de l’Asie et des Amériques. L’énergie cinétique libérée par le choc, étant donné la densité de l’astéroïde, sa masse, et la vitesse de l’impact, serait de plusieurs millions de mégatonnes de TNT. Outre les effets directs provoqués par le choc et l’onde de choc – tremblements de terre, etc. – le nuage de particules projeté dans l’atmosphère provoquerait l’équivalent d’un hiver nucléaire : le rayonnement solaire serait occulté par l’épais nuage, la température baisserait de plusieurs dizaines de degrés : la plus grande partie de la population de la terre disparaîtrait, tuée par le froid ou par la faim. La destruction de toutes les centrales nucléaires, faute de personnel pour les entretenir, provoquerait des dizaines de Tchernobyl. Les pandémies viendraient sans doute à bout des populations survivantes.
Tous trois étaient restés figés durant les quelques minutes de la simulation, silencieux.
- Les étoiles se mettront à tomber du ciel… dit enfin le père.
