Sodade c'est... et puis encore... mais jamais.... encore que ! Pourtant... ! Sodade est le premier d'une trilogie d'instants de vie, d'une femme, narrés en trois recueils où se côtoient mélancolie, nostalgie, douleur de l'absent et souffrance liée le tout en rêveries vers des jours doux et paisibles qui dardent du bonheur qui arrive et pointe à l'horizon prêt à être couché ! Sodade : "C'est mettre un voile devant ce monde auquel je n'appartiens pas !" comme l'auteure le développe aussi dans Zéphyr qui arrive bientôt ! Sodade c'est également le temps de l’Épure qui finira ce parcours sans atermoiements ni joies mais bel et bien "l'amorce d'un futur ou le silencieux devient Roi !" Sodade : « J'ouvre la porte du silence ! Nul son en apparence... Simulacre seulement.. ». Entrons dans cet univers du silence et parcourons les méandres parfois étranges des trois P : peinture, prose et poésie !
Les Éditions de l'Embellie
J'ai envie de vous mon amour,
De vos mains qui me parcourent,
Me caressent, me découvrent.
J'ai envie de votre regard envoûtant
Sonder mes yeux pers affectueusement,
Vos mains fines et douces qui caressent
La courbure de mon dos, mes fesses…
J'ai envie de vous voir écarter, ébahi
Et découvrir délicatement le fruit
Nacre rosée, convulsant au toucher,
En votre « chez vous » enfin pénétrer,
Doucement puis violemment
Et jouir de ce qui vous appartient
En me tenant les mains...
Ô mon cœur, ma douleur
Je saigne de l'intérieur,
Je vous en supplie venez
A mon sein vous abreuver !
Mon amour, je vais vous aimer.
De mon corps vous disposerez.
A vous, je suis, onde sensuelle.
Phénix déploie enfin ses ailes.
extrait de : " l'absence"
Les Éditions de l'Embellie
J'ai envie de vous mon amour,
De vos mains qui me parcourent,
Me caressent, me découvrent.
J'ai envie de votre regard envoûtant
Sonder mes yeux pers affectueusement,
Vos mains fines et douces qui caressent
La courbure de mon dos, mes fesses…
J'ai envie de vous voir écarter, ébahi
Et découvrir délicatement le fruit
Nacre rosée, convulsant au toucher,
En votre « chez vous » enfin pénétrer,
Doucement puis violemment
Et jouir de ce qui vous appartient
En me tenant les mains...
Ô mon cœur, ma douleur
Je saigne de l'intérieur,
Je vous en supplie venez
A mon sein vous abreuver !
Mon amour, je vais vous aimer.
De mon corps vous disposerez.
A vous, je suis, onde sensuelle.
Phénix déploie enfin ses ailes.
extrait de : " l'absence"