Tango Barbare, c'est des photos de Robert Doisneau qui parlent de gens simples et de bals populaires. C'est des affiches qui racontent les bords de Seine et ses bistrots, les amoureux qui content fleurette, les bouquets qui dérivent au fil de l'eau.Et là dessus, des portrait de gueules cassées, de bravaches à moustache, de splendides va-nu-pied, brossé par Georges Brassens. Il y a les rythmes: ceux des valses entre quatre z'yeux, ceux ds javas à deux balles, ceux des tangos fiévreux.
Tango Barbare, c'est un autre regard. C'est des petits ronds dans l'eau et de grands vagues à l'âme, de flamboyants idéaux et des rêves descendu en flamme.C'est aussi la guerre, quand on préférerai ne pas la faire, ou quand elle s'invite à votre table alors qu'on la pensait derrière. C'est ce découvrir héros, sans connaître le mot, ou se prétendre héros pour mieux sauver sa peau. C'est danser et boire, malgré tout, et puis c'est aimer envers et contre tout.
Tango Barbare, c'est un autre regard. C'est des petits ronds dans l'eau et de grands vagues à l'âme, de flamboyants idéaux et des rêves descendu en flamme.C'est aussi la guerre, quand on préférerai ne pas la faire, ou quand elle s'invite à votre table alors qu'on la pensait derrière. C'est ce découvrir héros, sans connaître le mot, ou se prétendre héros pour mieux sauver sa peau. C'est danser et boire, malgré tout, et puis c'est aimer envers et contre tout.