1871 : l’Alsace et la Lorraine sont annexées par l’Allemagne. Ceux qui veulent conserver leur nationalité française doivent abandonner leurs terres et partir, ce sont les optants. Justine Hartmann, 8 ans, est parmi eux. En compagnie de ses grands-parents et de ses parents, elle embarque, comme d’autres, pour l’Algérie, une nouvelle colonie, où une vie de cocagne leur est promise.
2015, Zimmerbach : Édithe, 80 ans, pied-noir, décide d’entreprendre un dernier voyage vers la terre qui l’a vue naître afin de se recueillir sur la tombe de sa grand-mère Justine. Sur place, elle retrouve Abdel, le gardien du cimetière. Le vieux Chaoui a conservé le journal de l’aïeule. Quelle était la vie quotidienne des colons d’Algérie et des autochtones ? Quel secret de famille va découvrir Édithe ? Cinq générations de souvenirs seront-elles suffisantes pour vaincre images d’Épinal et préjugés, et enfin panser les plaies ?
Comme aurait dit Justine : « Wenn m'r nùmme eini glock litte hert, so hert m'r nùmme einer ton. » (quand on n’entend qu’une cloche, on n’entend qu’un son)
Le mot de l’éditeur :
Trois regards croisés sur une histoire commune : celui, désabusé, d’Abdel, celui, naïf, d’Édithe, celui, empreint de modernité, de Justine. Au final, une saga familiale historiquement documentée, mais aussi un questionnement et une ode à la vie.
Mulhouse, Constantine, Alger ou Zimmerbach, les Terres d’exils ont la même saveur douce-amère…
2015, Zimmerbach : Édithe, 80 ans, pied-noir, décide d’entreprendre un dernier voyage vers la terre qui l’a vue naître afin de se recueillir sur la tombe de sa grand-mère Justine. Sur place, elle retrouve Abdel, le gardien du cimetière. Le vieux Chaoui a conservé le journal de l’aïeule. Quelle était la vie quotidienne des colons d’Algérie et des autochtones ? Quel secret de famille va découvrir Édithe ? Cinq générations de souvenirs seront-elles suffisantes pour vaincre images d’Épinal et préjugés, et enfin panser les plaies ?
Comme aurait dit Justine : « Wenn m'r nùmme eini glock litte hert, so hert m'r nùmme einer ton. » (quand on n’entend qu’une cloche, on n’entend qu’un son)
Le mot de l’éditeur :
Trois regards croisés sur une histoire commune : celui, désabusé, d’Abdel, celui, naïf, d’Édithe, celui, empreint de modernité, de Justine. Au final, une saga familiale historiquement documentée, mais aussi un questionnement et une ode à la vie.
Mulhouse, Constantine, Alger ou Zimmerbach, les Terres d’exils ont la même saveur douce-amère…