La lutte au quotidien d'une jeune femme contre son poids
Que fait-on quand on est en surpoids et que l'on se bat sans relâche pour maîtriser sa silhouette ? Que faire quand on passe plus de temps "en régime" qu'à manger normalement ? C'est à ces questions et bien d'autres que répond avec réalisme l'auteur de ce livre.
Le surpoids entraîne chez les personnes qui en souffrent un sentiment de dépréciation de soi et d'exclusion. Le regard des autres, souvent accusateur et parfois cruel, blesse profondément celui ou celle qui ne rentre pas dans les standards de la mode. Cette histoire est celle d'une femme qui se bat contre son poids, contre les difficultés que cela engendre, contre les moqueries et qui décide, malgré un terrible drame qu'elle traverse, de devenir ce qu'elle veut être. Sa volonté, ses coups de gueule, ses déceptions et sa ténacité font de ce livre un livre d'aventure ; celle de l'aventure humaine de quelqu'un qui ne renonce jamais.
Le surpoids entraîne chez les personnes qui en souffrent un sentiment de dépréciation de soi et d'exclusion. Le regard des autres, souvent accusateur et parfois cruel, blesse profondément celui ou celle qui ne rentre pas dans les standards de la mode. Cette histoire est celle d'une femme qui se bat contre son poids, contre les difficultés que cela engendre, contre les moqueries et qui décide, malgré un terrible drame qu'elle traverse, de devenir ce qu'elle veut être. Sa volonté, ses coups de gueule, ses déceptions et sa ténacité font de ce livre un livre d'aventure ; celle de l'aventure humaine de quelqu'un qui ne renonce jamais.
Un témoignage poignant et un message d'espoir sur un sujet sensible
À PROPOS DE L'AUTEUR :
Marie-Henriette Wagener, dite Marinette, est mère de deux enfants. Femme engagée et dynamique, elle propose dans cet ouvrage des solutions réalistes et pratiques pour contrôler son poids. Elle milite au sein de l'association BOLD.
EXTRAIT :
Comme beaucoup de personnes ayant franchi le cap de la quarantaine, j’établis des bilans et rassemble mes souvenirs afin de faire le point et me rendre compte de ce que furent les bonnes et moins bonnes choses de ma vie. Comme ce fut le cas tout au long de mon existence, c’est par l’écriture qu’il me plaît le mieux de m’arrêter sur tous ces jalons de mon parcours pour les revoir et comprendre mes erreurs, mes défauts, mes qualités, tout ce qui a composé ma vie.
Ce travail de mémoire m’amène tout naturellement à penser d’abord à ce qui fut mon plus grand bonheur, la naissance de mes enfants. Mais, déjà là, une ombre passe et je deviens mélancolique, car la première de ces naissances fut marquée par un événement d’une grande tristesse qui restera pour moi toujours le plus pénible de mes souvenirs. Le petit ange qui aurait dû combler mes attentes de mère n’a pu voir le jour, et le matin de Noël 1985, quatre jours après sa naissance, nous avons porté en terre notre petit Julien.
La raison de ce décès est la même que pour toutes les autres ombres qui m’ont gâché la vie, cette maladie que l’on hésite encore à appeler comme telle dans notre beau pays, l’obésité. Ce problème comme je le dis souvent m’a pollué l’existence et c’est au fil des fluctuations pondérales que je me rappelle aujourd’hui de celle-ci. Car je n’ai pas toujours supporté un excédent de poids, pendant les sept premières années de ma vie, ce fut plutôt le contraire.