Comment affronter ses propres défaillances quand on a commis une faute irréparable, mais que tous vous portent aux nues ?
Pourquoi tenter de maquiller le passé en occultant les circonstances d’une mort qui aurait pu être évitée par un seul geste ? Comment faire face au regard de sa femme et de ses enfants lorsque la violence du mistral vous rend prisonnier d’un mas dont on aimerait à tout prix s’échapper ? Submergés par des émotions dont ils ne sont plus maîtres, les héros d’Un acte de faiblesse voient leur existence basculer. Et pourtant, ils continuent à survivre tant bien que mal, comme nous tous. Sont-ils si lâches ? Ou sont-ils tout simplement nos semblables ?
Mal-être, malaise, obsession, déchirement… Par l’auteur de La nuit de Sala et de Simon, l’enfant du 20e convoi !
EXTRAIT D'UN ACTE DE FAIBLESSE
Moi qui pâlis au nom de Syracuse – et pourquoi donc, me demanderez-vous ? –, j’ai cru en ma lâcheté inhérente avant qu’on me traite en héros, qu’on me place sur un piédestal et que certains aient même le culot de vouloir me contraindre à y demeurer ad vitam aeternam. Je ne suis pas de marbre, j’ai la bougeotte et je n’éprouve guère l’envie de voir le monde d’en haut.
Ce qui suit est une sorte de confession. On en pensera ce qu’on voudra.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Romancière et nouvelliste, Françoise Pirart prête aussi sa plume à ceux qui souhaitent laisser un témoignage de vie. Elle enseigne le français à des élèves d’origine étrangère à Mons en Hainaut.
Pourquoi tenter de maquiller le passé en occultant les circonstances d’une mort qui aurait pu être évitée par un seul geste ? Comment faire face au regard de sa femme et de ses enfants lorsque la violence du mistral vous rend prisonnier d’un mas dont on aimerait à tout prix s’échapper ? Submergés par des émotions dont ils ne sont plus maîtres, les héros d’Un acte de faiblesse voient leur existence basculer. Et pourtant, ils continuent à survivre tant bien que mal, comme nous tous. Sont-ils si lâches ? Ou sont-ils tout simplement nos semblables ?
Mal-être, malaise, obsession, déchirement… Par l’auteur de La nuit de Sala et de Simon, l’enfant du 20e convoi !
EXTRAIT D'UN ACTE DE FAIBLESSE
Moi qui pâlis au nom de Syracuse – et pourquoi donc, me demanderez-vous ? –, j’ai cru en ma lâcheté inhérente avant qu’on me traite en héros, qu’on me place sur un piédestal et que certains aient même le culot de vouloir me contraindre à y demeurer ad vitam aeternam. Je ne suis pas de marbre, j’ai la bougeotte et je n’éprouve guère l’envie de voir le monde d’en haut.
Ce qui suit est une sorte de confession. On en pensera ce qu’on voudra.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Romancière et nouvelliste, Françoise Pirart prête aussi sa plume à ceux qui souhaitent laisser un témoignage de vie. Elle enseigne le français à des élèves d’origine étrangère à Mons en Hainaut.