Les gens doivent être dirigés. Lorsqu’il y a un dirigeant, on le suit. Le dirigeant spirituel est celui qui a fait le plus de progrès dans la connaissance et dans le service de Dieu. Une telle personne reçoit de Dieu une autorité que nul ne peut lui ôter. Personne ne peut le révoquer de la direction. Personne ne peut l’établir dans la direction. Sa connaissance intime de Dieu, sa marche étroite avec Lui et son sacrifice dans le service du Seigneur et pour Son peuple le mettent à part, et ceux qui recherchent la vraie direction spirituelle se tournent vers lui. C’est ainsi que je comprends la direction spirituelle.
Puisqu’il faut que les gens soient dirigés, ils seront nécessairement conduits quelque part. Si le dirigeant ne va nulle part, les gens le suivront nulle part. S’il va où Dieu veut qu’il aille, les gens le suivront, et ce faisant, ils atteindront le lieu où Dieu veut qu’ils soient.
Il est donc important que le dirigeant voie très clairement là où Dieu veut que le peuple et lui aillent. Après qu’il aura vu, il faut qu’il soit désespéré d’y arriver, non pas seul, mais avec le peuple. Finalement, il faut qu’il cesse d’être désespéré et qu’il s’engage dans une action désespérée.
L’acte de voir c’est la VISION. Le poids de traduire ce qui a été vu en réalité, c’est le FARDEAU. La vraie vision conduira à un fardeau qui devra être déchargé par l’ACTION.
Dans ce livre Vision, Fardeau, Action, nous exposons ce que nous croyons être un message très indispensable pour le Corps de Christ maintenant. Nous croyons que ce message est destiné à chaque croyant et pas seulement à certains membres du Corps. Il est pour tous les dirigeants actuels et pour tous les dirigeants futurs. Il est pour ceux qui dirigent des millions de personnes et aussi pour toi qui peut-être ne diriges encore qu’une personne: toi-même.
Ces messages ont été d’abord prêchés pendant deux week-ends en 1984. Des croyants venant d’environ dix localités s’étaient rassemblés : le Seigneur leur parla, les enseigna, et m’enseigna.
Nous les publions avec la prière : que le Seigneur les utilise pour te bénir très abondamment. Amen !
Puisqu’il faut que les gens soient dirigés, ils seront nécessairement conduits quelque part. Si le dirigeant ne va nulle part, les gens le suivront nulle part. S’il va où Dieu veut qu’il aille, les gens le suivront, et ce faisant, ils atteindront le lieu où Dieu veut qu’ils soient.
Il est donc important que le dirigeant voie très clairement là où Dieu veut que le peuple et lui aillent. Après qu’il aura vu, il faut qu’il soit désespéré d’y arriver, non pas seul, mais avec le peuple. Finalement, il faut qu’il cesse d’être désespéré et qu’il s’engage dans une action désespérée.
L’acte de voir c’est la VISION. Le poids de traduire ce qui a été vu en réalité, c’est le FARDEAU. La vraie vision conduira à un fardeau qui devra être déchargé par l’ACTION.
Dans ce livre Vision, Fardeau, Action, nous exposons ce que nous croyons être un message très indispensable pour le Corps de Christ maintenant. Nous croyons que ce message est destiné à chaque croyant et pas seulement à certains membres du Corps. Il est pour tous les dirigeants actuels et pour tous les dirigeants futurs. Il est pour ceux qui dirigent des millions de personnes et aussi pour toi qui peut-être ne diriges encore qu’une personne: toi-même.
Ces messages ont été d’abord prêchés pendant deux week-ends en 1984. Des croyants venant d’environ dix localités s’étaient rassemblés : le Seigneur leur parla, les enseigna, et m’enseigna.
Nous les publions avec la prière : que le Seigneur les utilise pour te bénir très abondamment. Amen !