Avertissement : ce roman est une histoire d'amour, mais pas un "roman à l'eau de rose" classique ; raison pour laquelle je l'ai présenté sur facebook comme un "roman à l'eau de vie".
Tout d'abord, il se passe dans les milieux des "affaires occultes" : celles dont la réussite enrichit les États, et dont l'échec entraîne seulement la condamnation d'intermédiaires anonymes (d'où l'anonymat des héros, qui contribue à traduire cette ambiance). Ne craignez rien, c'est un monde beaucoup plus glamour qu'il n'en a l'air.
Ensuite, j'ai rédigé Marges forcées en hommage à Albertine Sarrazin, jeune écrivain surdouée morte à 30 ans après avoir passé en prison 8 années de sa courte vie. Son style était très moderne : nerveux, souple, intuitif, ce qui peut rebuter les habitués de la littérature industrielle.
Au contraire des romans d'Albertine, histoires d'amour avec son futur mari Julien, mais aussi histoires de marginalité et de réclusion, ceci est une histoire de marginalité ET de liberté... J'espère que vous y sentirez souffler le vent de l'aventure !
Résumé :
Elle l'a connu dès l'enfance : il était le presque-frère, le compagnon de jeu protecteur, fascinant... Ils se retrouvent à l'âge où l'on s'adonne à des jeux beaucoup plus troubles.
Marginal assumé, V. courtise le risque avec désinvolture au sein de la zone franche où s'affairent en ombres chinoises les acteurs de l'économie et de la diplomatie parallèles. Elle s'en inquiète, non sans lui trouver des raisons.
Mais tout en la comblant d'égards, tout en l'invitant à le suivre dans ses rendez-vous à haute tension, V. la tient à distance, joue avec ses sentiments, non sans quelque perversité.
Or cet homme-là, depuis toujours, elle le veut...
P.S : À ceux qui aimeraient les histoires d'amour atypique, mais un style plus classique, je donne rendez-vous dans "Autant en emporte le chergui", une grande fresque romanesque où les héros ont un état-civil complet et une histoire de A à Z...
Alors à bientôt, peut-être ?
Tout d'abord, il se passe dans les milieux des "affaires occultes" : celles dont la réussite enrichit les États, et dont l'échec entraîne seulement la condamnation d'intermédiaires anonymes (d'où l'anonymat des héros, qui contribue à traduire cette ambiance). Ne craignez rien, c'est un monde beaucoup plus glamour qu'il n'en a l'air.
Ensuite, j'ai rédigé Marges forcées en hommage à Albertine Sarrazin, jeune écrivain surdouée morte à 30 ans après avoir passé en prison 8 années de sa courte vie. Son style était très moderne : nerveux, souple, intuitif, ce qui peut rebuter les habitués de la littérature industrielle.
Au contraire des romans d'Albertine, histoires d'amour avec son futur mari Julien, mais aussi histoires de marginalité et de réclusion, ceci est une histoire de marginalité ET de liberté... J'espère que vous y sentirez souffler le vent de l'aventure !
Résumé :
Elle l'a connu dès l'enfance : il était le presque-frère, le compagnon de jeu protecteur, fascinant... Ils se retrouvent à l'âge où l'on s'adonne à des jeux beaucoup plus troubles.
Marginal assumé, V. courtise le risque avec désinvolture au sein de la zone franche où s'affairent en ombres chinoises les acteurs de l'économie et de la diplomatie parallèles. Elle s'en inquiète, non sans lui trouver des raisons.
Mais tout en la comblant d'égards, tout en l'invitant à le suivre dans ses rendez-vous à haute tension, V. la tient à distance, joue avec ses sentiments, non sans quelque perversité.
Or cet homme-là, depuis toujours, elle le veut...
P.S : À ceux qui aimeraient les histoires d'amour atypique, mais un style plus classique, je donne rendez-vous dans "Autant en emporte le chergui", une grande fresque romanesque où les héros ont un état-civil complet et une histoire de A à Z...
Alors à bientôt, peut-être ?
